Les Nations Unies ont mis en garde contre le danger de la pollution de l'air et du changement climatique, ainsi que sur la menace qu'ils représentent pour les abeilles et autres insectes, qui sont les principaux pollinisateurs de plus des deux tiers des fleurs et des plantes dans le monde.
"Si les abeilles disparaissent de la planète Terre, il ne restera plus que quelques années aux humains pour disparaître", adage attribué au scientifique allemand Albert Einstein il y a plus d'un demi-siècle.
Aujourd'hui, les scientifiques prouvent que ces informations sont exactes. Les Nations Unies ont averti que la diminution du nombre d'abeilles et leur disparition auront de graves conséquences sur les écosystèmes mondiaux et le bien-être humain.
On estime que plus des trois quarts des principales espèces de cultures vivrières mondiales dépendent dans une certaine mesure des abeilles et des insectes pour la pollinisation, mais les abeilles sont les plus importantes d'entre elles.
Environ 90% des fleurs sauvages dépendent d'elles pour produire leurs graines, et elles sont responsables de la production de 35% des récoltes dans le monde, selon les Nations Unies.
Pour sa part, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture «FAO» a souligné l'importance d'assurer la diversité biologique de ces espèces dans la construction de systèmes résilients au changement climatique.
Elle a souligné qu'il était nécessaire de déployer des efforts urgents et à grande échelle pour protéger les abeilles dans les sites sauvages, agricoles et civils.
La FAO a également indiqué dans son rapport que les causes les plus importantes de la baisse du nombre d'abeilles sont les mauvaises activités humaines, telles que l'utilisation fréquente de pesticides et le changement climatique.
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